ceci est le discour de Karim Tabou 1er secrétaire du FFS pour le moment…
Lors d’une conférence de presse animée, ce matin, au siège national du FFS, le premier secrétaire du FFS, Karim Tabbou, a expliqué, dans le détail, le processus de préparation de l’Audit national démocratique et transparent qui se tiendra, les 21 et 22 juin 2007, à Zeralda.
Ainsi sur les 450 participants, 40 % sont élus à la base; les 60 % restant sont répartis entre membres du Conseil national (membres de droit de l’Audit), des invités, des femmes…
A la question d’un journaliste sur la participation des 5 membres du CN radiés, Tabbou a déclaré que le dossier des radiés est définitivement clos. “Ces radiés ont été condamnés par le Conseil national, le président du parti et la base militante”, a rappelé l’orateur.
Au sujet de la révision de la loi électorale qui toucherait les petits partis politiques, Karim Tabbou a expliqué qu’il n’existe, en Algérie, aucun moyen pour déclarer que ce parti est petit ou l’autre est grand. “Nous avons des institutions issues de la fraude. Est-ce qu’elles peuvent décider d’un amendement de la loi électorale”, s’est interrogé Karim Tabbou et d’ajouter que le problème de l’Algérie ne réside pas dans les lois, mais dans leur application. “Après le pétrole, nous sommes un pays qui peut exporter des lois, car nous avons un excédent en la matière”, a ironisé le conférencier.
A propos de la récente démission de l’ancien premier secrétaire, Mustapha Bouhadef, Karim Tabbou a déclaré : “nous respectons la décision de Bouhadef. Les statuts du parti consacrent le droit de démissionner….Je vous informe seulement que le temps des Caids, des gradés de la politique, des supers militants est révolu.”